Le carnet du CFC

La Voie Des Chanteraines surfe sur le Web

" Surfer sur le Web ferroviaire " voilà encore une voie qui reste à explorer pour les " fans " de nouvelles technologies, de micros et d’Internet.

Mais qu’est-ce que ce langage ésotérique pour les ferrovipathes que nous sommes ?

Personne n’est maintenant sans savoir qu’il existe un réseau de communication inondant toute la planète d’informations diverses et variées et que d’aucun nomme INTERNET (net signifiant réseau).

Mais qu’est-ce qu’un réseau ?

Alors là, mes amis ferroviphiles, un réseau, vous savez ce que c’est. Un réseau de chemin de fer c’est un ensemble de voies parcourant un espace avec des bifurcations, des voies de garages, enfin une véritable toile d’araignée tissée dans un espace. Si le réseau ferroviaire français fond d’année en année, en revanche le Web (toile d’araignée) lui, augmente de jours en jours et entoure la planète de ces lignes transportant une infinité d’informations.

Mais Nom de D. Qu’est-ce qu’une information ?

Une information, c’est ce qui guide les hommes depuis la nuit des temps. Nous vivons dans l’information sans le savoir ou plutôt sans en prendre conscience ou plus exactement sans en avoir toujours conscience.

Il en est de même pour nous au CFC.

Le train quitte le dépôt, c’est une information. Il arrive à La Ferme d’enfants, c’est une information, il déraille à l’aiguille du dépôt, c’est une information. Mais toutes ces informations n’ont pas la même résonance pour chacun d’entre nous. Pour celui qui graisse les aiguilles que le train quitte le dépôt lui signifie que le moment n’est pas propice ou que si une intervention sur la voie est nécessaire, il faudra redoubler de prudence. Il arrive à La Ferme d’enfants, pour Jean-Marc, ce n’est pas neutre, ça le fait réagir. Il va y avoir des voyageurs, il faut les accueillir, les faire payer, les renseigner. Il déraille à l’aiguille du dépôt, c’est une chiotte d’information pour ceux qui vont devoir le remettre sur les rails et ensuite réparer.

Eh bien le Web c’est ce support qui achemine dans tous les sens, à n’importe quel moment et partout (où il y a des lignes téléphonique et satellitaire) avec un maillage parfait, des multitudes d’informations de tous ordres sous forme de textes ou d’images. Chacun réagissant bien sûr à celles qui l’intéressent.

En me promenant sur le Web, j’ai récupéré un texte sur l’automoteur 72500 créé par Henri Favier. Texte que je vous livre agrémenté des photos de l’auteur. Comme le Web n’arrive pas encore aux Chanteraines, les Chanteraines iront au Web.

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