Le chemin de fer et la litterature

 

Ce qui demeure

Benoist-Méchin.

Le soir les cuves de verures qu’abritent les plateaux s’emplissent de brume blanche où rougeoient la locomotive du Decauville, où s’essoufflent les covois de munitions.

Page 20422 Mai 1916

Enfin un coup de sifflet réussit à fendre l’air épaissi d’eau.

page 220 5 octobre 1916

Lettres de marc Boasson caporal au 414ème régiment d’infanterie, tombé au champ d’honneur le 29 Avril 1918.

Source : Ce qui demeure Lettres de soldats tombés au champ d’honneur 1914-1918 Benoist-Méchin Ed. Albin Michel 1942.

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