L'Association

Les travaux d'atelier au CFC en 02-2009 et divers.

Denis Le Tourneau

En ce 06 Février, afin de participer à l'Assemblée Générale de l'association, mais également de bricoler un peu sur mon wagonnet citerne, me voici de nouveau à bord de l'un des TGV Lyon-Paris, destination le Parc des Chanteraines.
Au départ de Lyon, il pleut à verse ; j'espère que le temps sera meilleur à Paris ?!
Comme la dernière fois, un train spécial, piloté par Vincent, est prévu afin d'assurer ma correspondance avec le dépôt du CFC depuis la station ''Les Tilliers RER''. On y prend vite goût ! et sur un côté purement pratique, ça (me) fait gagner beaucoup de temps, sans compter le plaisir de conduire la Tromobile ! Merci Vincent pour ta disponibilité et ces petits moments de bonheur.

Sur le quai des Tilliers, la valise d'un voyageur en correspondance de Lyon... au CFC on assure toute correspondance de et vers le monde entier ! (06/02/09)
15h16, au loin, j'entends rouler le train à l'approche. (06/02/09).

15h17, le train Tromobile entre en gare à l'heure. Remarquez à 15h16 ou à 15h18 voire même à 15h22 il aurait aussi été à l'heure exacte ; vu qu'il n'y en a qu'un et qu'il est pour moi ! Oui, je sais, désolé, mais c'est tellement agréable d'avoir un instant le sentiment d'être quelqu'un d'important (06/02/09).

La Tromobile en cours de retournement telle une Pacific 231 sous l'œil intrigué des rares promeneurs (06/02/09).
Système D ayant fait ses preuves il y a 15 jours : le serre-bagage de sécurité. Rares sont les passagers avec bagage, pour la bonne réputation de la compagnie, il serait donc malvenu d'échouer à ce prémice de service messagerie (06/02/09).
En route pour le dépôt-atelier de la compagnie CFC ! (06/02/09).

Voilà 45 minutes que le TGV fonce vers Paris, une ''purée de pois'' à remplacé la pluie et je vois même des plaques de neige en bordure de la voie ; ça promet ! Nous verrons bien...
Ma dernière visite au dépôt datant de 15 jours seulement, mon tour d'atelier sera probablement rapide, car je ne m'attends pas à ce que, en si peu de temps et en ces temps frisquets, l'avancée des chantiers en cours présentent des différences spectaculaires... et pourtant, il y a bien une différence spectaculaire, mais en dehors de l'atelier avec l'aménagement de la zone derrière le dépôt (voir LVDC n° 137 de Mars 2009).

L'année 2009 va être, pour notre association, une année importante tant par la modification d'aménagement de la zone du dépôt, que par les évènements internes (Rencontres Internationales) qu'externes ou encore l'arrivée de nouveaux membres au sein du bureau.

À l'atelier aussi ça s'active : les baladeuses dites ''du père Nöel'', car utilisée initialement à cette période lors d'animation devant la mairie de Villeneuve, ont été prises en main par notre ami Gilbert, dieseliste accompli, récemment converti à la menuiserie et qui s'occupe donc désormais de la réalisation de dais en bois pour les deux baladeuses qui restent à équiper. Lui qui nous avait assuré que le Plymouth bleu 40 % serait son dernier engin restauré (40 % rapport au prix de la peinture en question) a finalement trouvé une occupation bien différente. Décidément il n'en finit pas de nous surprendre ! Comme quoi, il n'y a pas d'âge pour changer de ''métier''.

Le dai en bois en cours de réalisation par Gilbert ex. Dieseliste converti à la menuiserie (07/02/09).

La deuxième baladeuse en cours d'équipement selon le modèle de la première (07/02/09).

Côté machines à vapeurs, la chaudière de la 030T O&K a reçu la visite de l'APPAVE pour des mesures d'épaisseurs de tôle. Profitant d'une part de ma présence, ou plutôt de celle de mon appareil et d'autre part de la présence de la 030T ''Chanteraine'' sur la fosse, François me demande de lui faire quelques photos de la timonerie de frein ; celle sur sa machine étant absente. Nous savons donc quelle va être son occupation de cet hiver : retracer les plans et faire fabriquer ces pièces. Bref, encore un gros morceau.

La chaudière de la 030T O&K a reçu la visite de l'APPAVE... (06/02/09).

 … pour mesure d'épaisseur de tôle (points brillants) (06/02/09).

Timonerie de frein de la ''Chanteraine'' : l'axe de commande et la tringle principale (07/02/09).
Le palonnier arrière ; on voit qu'il a été réparé (07/02/09).
Le renvoi central vu à la vertical pour retracer le plan (07/02/09).

Jean-Luc a attaqué la remise en état des essieux de ses deux berlines de mine. Il a déjà séparé les essieux de l'une d'elles et, sitôt l'AG terminée, il travaille au démontage des roulements à billes.

Une des deux berlines de mine. Le numéro a en parti disparu (06/02/09).
Les essieux de la seconde berline sont déjà démontés (06/02/09).
Sitôt l'AG terminée, Jean-Luc se remet au travail (07/02/09).

Sur cette berline, les capots sont vissés, sur l'autre ils sont carrément soudés m'explique Jean-Luc (07/02/09).

Et voilà, la première roue est démontée ; à la suivante ! (07/02/09).
L'essieu détordu il y a 15 jours a retrouvé sa place (07/02/09).

Le chantier de reconstruction du locotracteur Schöma, récupéré par Daniel il y a quelques années chez un ferrailleur, n'a pas beaucoup avancé en 2008. Rappelons que le moteur a été remis en marche en août 2006, que la carrosserie a été entièrement refaite à neuf avec le concours d'un lycée technique et que son démontage complet a eu lieu en 2006 et 2007. Ensuite les tôles constitutives du châssis ont été décapées et peintes. Elles sont depuis stockées sur des lorries. Il est à noter cependant que le pont moteur avant a été séparé du pont arrière et que la boulonnerie nécessaire au remontage des lourdes tôles du châssis a été acquise. Son remontage peut donc commencer, mais ce chantier n'est pas à l'ordre du jour en raison de la préparation des Rencontres Internationales.

Le Schöma le 07/08/05. La carrosserie très abîmée a déjà été éliminée.
Gilbert, initiateur de la remise en état du Schöma, Vincent et Freddy s'occupent du moteur (10/08/05).
Le 24/08/05, Gilbert démonte l'un des pistons.
Le démontage complet, c'est parti ! Daniel, tronçonne les résidus de boulons du châssis (23/08/06).
Trois jours plus tard, la première tôle quitte le châssis (26/08/06).
Les tôles sont décapées, peintes et stockées sur un lorry (24/05/07).
Les débris du capot moteur, ayant servi de modèle au lycée, sont mis au rebut (25/05/07).
Les ponts avant et arrière sont séparés et la boulonnerie provisionnée (07/02/09).

Du côté de la Mike-Gaver chinoise mobile, plus communément nommée aujourd'hui la ''Tromobile'', par notre ami Vincent, les travaux avancent bon train ! Certains d'entre vous ont pu découvrir cet engin aussi rockant que bolesque durant les Rencontres Internationales à Ramsen au mois d'octobre 2008 dans sa version juste roulante, mais le projet de notre amis ne saurait se contenter de cette première étape. Les rencontres furent un véritable banc d'essai où l'engin a plus que fait ses preuves et même dépassé les espérances de son concepteur-réalisateur, au plus grand plaisir de toute la délégation du CFC, entre autre. Après la mécanique, juste roulante, place aux perfectionnements et à la carrosserie. Pour cela, Vincent à sa ''petite'' idée et pleins d'astuces, car voyez-vous, avec lui point de crayon, plan, ou simplement croquis, tout n'est qu'assemblage d'éléments hétéroclites et de chutes divers savamment ajustés et assemblés, souvent par soudure, au gré de l'inspiration du moment, pour former ce qui promet d'être, comme son nom l'indique, la ''Trop Mobile'' du siècle ! Côté capot moteur, il a déjà soudé la charnière centrale et riveté la première tôle. Côté mécanique, afin de soulager les chaînes motrices avant et arrière, maintenant que tout fonctionne, Vincent s'occupe de les tripler. Pour cela, il fabrique des entretoises pour positionner ses roues dentées sur les essieux ; essieux qu'il ''rectifie à la disqueuse'', Tromobile calée sur deux cric hydrauliques et moteur en route ! Ensuite, il coupe en deux ces roues dentées et les soude sur l'essieu, mais tout vous décrire ici serait trop long, alors le plus simple est encore la preuve par images :

La plupart du temps, ça se passe comme ça avec Vincent ; que de la grande précision (;-) (07/02/09).
Tronçonnage d'entretoises... (07/02/09)
 … puis perçage et assemblage des roue dentées, contrôle qualité (07/02/09).
Pour percer ses trous, il a tout de même fabriqué un gabarit (07/02/09).
Les dents sont bien en face, parfait ! (07/02/09)
Mais quel est donc ce bruit et cette fumée ? (07/02/09)
bin, tu vois, c'est pas compliqué, j'ai enlevé la chaîne avant et en faisant tourner le moteur, je peux rectifier mon arbre d'essieu pour que mon pignon tourne rond... (07/02/09)
 … et voilà le travail. J'ai percé deux trous dans mon pignon, ça a l'air très bien s't'affaire (07/02/09).
La chaîne un peu longue sert à maintenir le gabarit de perçage (coupé en deux) en place (07/02/09).
Et voilà, un petit montage à blanc permet de constater un léger voile largement tolérable. Ne reste plus qu'à souder tout ça sur l'essieu (07/02/09).

La rouleuse de tôle en cours de rénovation il y a 15 jours est maintenant terminée et fonctionnelle. Les machines des ateliers de mécanique sont habituellement de couleur uniforme, bien souvent d'un vert triste et terni par les ans, au CFC, on aime la couleur, mais parfois, c'est seulement pour finir les pots de peinture. Je parierais qu'ici, il y a un peu des deux.

La rouleuse de tôle terminée est opérationnelle (06/02/09).

Pour ma part, je continue la remise en état de mon wagonnet citerne Decauville. Arrivé au CFC le 27 novembre 2002, ce wagonnet provient des anciennes Ardoisières de Trélazé. Si les boîtes d'essieux , de par leurs marquages, témoignent que le wagonnet est de construction Decauville, la citerne, quand à elle, semble avoir été ajoutée postérieurement. En effet celle-ci est maintenue par des équerres soudées, lesquelles sont vissées à des poutrelles ; ces dernières étant soudées au châssis. Plus aucune plaque de construction ni de repère ne subsistant sur la citerne, il m'est impossible de connaître le nom du constructeur, sa date de fabrication ni sa pression de service. Seule sa belle soupape m'indique qu'elle était bien sous pression. J'en saurais plus lorsque j'aurais ouvert le trou d'homme...

Le wagonnet Decauville équipé d'une citerne ; soupape démontée (10/08/08).
Une des boîtes d'essieux du wagonnet citerne (18/01/09).

Les plaques techniques ont disparues (18/01/09).

Wagonnet citerne Decauville (Freddy 11) 27-11-02 : Déchargement de la citerne Decauville au CFC le 27/11/02 sous la surveillance d'Alexandre et Claude (photo Freddy Genot).

Le 04/04/08, le premier travail de remise en état a consisté au démontage de cette soupape, dont le ressort, fortement corrodé, n'a pu servir que de modèle pour son remplacement. Transportée à Lyon, je l'ai confiée à mon beau père, spécialiste de ce type de matériel et qui m'a fait la surprise de me la remettre complètement restaurée et tarée (avec certificat de tarage SVP !) en Juin 2008 pour mon anniversaire.

La soupape et la vanne fixées sur le couvercle de trou d'homme (04/04/08).
Début des travaux de restauration le 04/04/08 : démontage de la soupape.

L'axe, tordu, va être remplacé (17/06/08).

Le clapet et le siège de clapet sont ré-usinés (18/06/08).
Les pièces sont sablées, un ressort neuf est monté (18/06/08).
La voici terminée avec plomb et plaque de tarage (15/01/09).

De retour au CFC le 17 et 18 Janvier 2009, je démonte tous les bouchons, la vanne, la petite bride et le couvercle du trou d'homme après traitement au dégrippant et bien des efforts. Un premier examen visuel de l'intérieur de la citerne révèle des surfaces propres, une corrosion superficielle et des traces de peinture identiques à celles visibles à l'extérieur. Voilà qui est plutôt bon signe, mais quel était son usage ? Probablement uniquement de l'air comprimé ; ce qui expliquerait son aspect intérieur très propre. J'emporte les petites pièces dans ma valise pour remise en état à Lyon.

Le couvercle de trou d'homme est ouvert, les bouchon et la petite bride sont démontés (18/01/09).
L'intérieur de la citerne présente encore des traces de peinture et une faible corrosion (18/01/09).

Vendredi 06 Février, je commence par observer l'état général du wagonnet. Certaines cornières, probablement de récupération, ont été découpées un peu grossièrement au chalumeau. La citerne semble dans un état tout à fait satisfaisant et ne présente qu'une corrosion partielle et superficielle. Seules les équerres de fixation présentent une boursouflure plus ou moins importante au niveau de la fixation à la poutrelle métallique, mais rien de catastrophique. Les ''tampons'' sont en excellent état. Les crochets d'attelage sont en bon état également et seront conservés, malgré le système en vigueur au CFC, par barre d'attelage. Pour réaliser cette adaptation, je relève les mesures nécessaires sur d'autres wagonnets.

Les cornières de récupération ? découpées un peu grossièrement (06/02/09).
Le dessous de la citerne est en excellent état (06/2/09).
Les équerres de fixation présentent une boursouflure plus ou moins importante (06/02/09).
Tampon et crochet d'attelage sont en excellent état (06/02/09).
Un modèle d'attelage par barre type CFC dont je vais m'inspirer pour la citerne (06/02/09).

Je commence ensuite par redémonter le couvercle du trou d'homme, à traiter tous les boulons au dégrippant et à démonter ceux fixant la citerne au châssis ; seuls 2 sur 8 me résisteront (pour cette fois). Trouvant le roulement un peu dur, et pour en avoir le cœur net, je démonte une boîte d'essieux et transporte celle-ci et le couvercle de trou d'homme à l'atelier. Il faut préciser ici, que jusque là, afin de ne pas perdre trop de temps, je travaillais au fond du dépôt 2 (dans le froid !), évitant ainsi de trop longues manœuvres pour transférer ce wagonnet à l'atelier et le retransférer de nouveau dimanche soir. Un WE c'est court alors, venant de loin, autant le ''rentabiliser''.

Le couvercle du trou d'homme est déposé (06/02/09).
Les boulons de fixation de la citerne sont démontés sauf 2 récalcitrants ! (06/02/09)

Une boîte d'essieu est également démontée pour révision (06/02/09).

Aussitôt sur l'établi, j'ouvre la boîte, vide les 13 rouleaux, les met à tremper dans du gasoil, et la rempli à son tour après avoir éliminé au mieux la vieille graisse séchée. Pour terminer cette première journée, je décolle le joint du couvercle de trou d'homme.

Aussitôt à l'établi, j'ouvre la boîte et met les rouleaux à tremper (06/02/09).
La boîte d'essieux remplie de gasoil pour la nuit (06/02/09).

Le joint est décollé du couvercle. Il servira de modèle (06/02/09).

Ce n'est que le lendemain samedi, après l'AG que je m'attaque au décapage de l'ensemble de ces pièces. Ensuite, pour cette boîte d'essieu, je taille un joints neuf dans une chute de feutre tout juste suffisante pour en faire quatre. Il ne fait pas chaud dans l'atelier et si je suis bien couvert, la peinture, elle, risque fort de ne pas être sèche pour le remontage prévu le lendemain ; l'idée étant que la Citerne puisse être déplacée si besoin ; aussi j'utilise le chauffage soufflant tant pour moi que pour activer le séchage des pièces reposant sur des supports en bois munis de clous (ainsi pas de trace). Peu à peu, les pièces s'accumulent devant le chauffage, je continue le décapage des dernières petites pièces, sans oublier de tourner périodiquement celles qui sont au séchage accéléré. Pendant ce temps, je récupère et sèche les rouleaux.

Les pièces sont décapées et un joint, découpé dans du feutre est présenté (07/02/09).
Les pièces sont dégraissées... (07/02/09)
… on voit bien les marquages... (07/02/09)

… puis peintes une à une ; ici la boîte ; c'est mieux non ?... (07/02/09)

 … et exposées au souffle du chauffage afin d'en activer le séchage (07/02/09).
Pendant que les unes sèchent, je décape les dernières petites pièces (07/02/09).
Les rouleaux sont maintenant propres et les dernières pièces peintes (07/02/09).

Par sécurité, je coupe le chauffage pendant la nuit, mais à ce moment là, la peinture est déjà quasi sèche ! Plutôt efficace ! Ça s'annonce plutôt bien. Le lendemain, pendant un dernier petit coup de séchage / réchauffage du bonhomme, après essai de montage du premier joint feutre sur la fusée d'essieu, je découpe les trois autres joints. Ensuite, je retourne auprès de la citerne et la purge de tout le sable mêlé de rouille qui en tapisse le fond. Je peux alors me livrer à un examen intérieur plus que satisfaisant. Je ne sais pas quel a été l'usage de cette citerne, mais il y a fort à parier que ce n'était que de l'air tant la corrosion est superficielle. Cela expliquerait du même coup la présence de la soupape.

Il est tard, voici la production de ces deux jours (07/02/09).
Un dernier petit coup de chauffe pour les pièces et moi, pendant que... (08/02/09)

… je découpe les trois joints feutre supplémentaires pour les autres boîtes (08/02/09).

L'intérieur de la citerne à l'aplomb du trou d'homme (08/02/09).
Vue intérieure d'une extrémité... (08/02/09)
 … et de l'autre. Etat visuellement très satisfaisant (08/02/09).

Après cela, je fait un rapide retour à l'atelier, histoire de réassembler la boîte d'essieu et de me réchauffer un peu. Puis, de nouveau, retour auprès de la citerne pour, cette fois, remonter la boîte d'essieu et le couvercle de trou d'homme (ce dernier étant juste présenté).

Ré-assemblage de la boîte d'essieu à l'établi (08/02/09)...
puis remontage sur le wagonnet citerne (08/02/09).

Et voilà ! Une citerne avec une patte et un chapeau tout neufs ! (08/02/09)

La peinture rouge appliquée n'est qu'une couche de protection. La question que je me pose est : de quelle couleur peindre ce wagonnet citerne ? La citerne en gris et le châssis en noir ? Ou bien le châssis en rouge ? Ou ??? N'hésitez pas à donner votre avis...

Avant de partir, une fois tous les outils rangés, et vu qu'il me reste encore un peu de temps, j'en profite pour raviver une vieille brosse rotative pour meuleuse. Usée jusqu'à la corde, et donc devenue inutilisable alors qu'il reste encore 5 bons millimètres avant d'arriver au niveau de la cloche intérieure, j'usine la cloche extérieure, rendant alors ces 5 mm utilisables pour la prochaine fois. Vous me direz ce n'est rien, mais au prix de ces brosses, sur 5 achetées, on arrive ainsi à en économiser une. Autre avantage : lorsque les poils sont courts, le brossage n'en est que plus efficace !

Une brosse rotative pour meuleuse usée jusqu'à la corde (08/02/09)...

 … retrouve 5 mm de poils après usinage de la cloche extérieure (08/02/09).

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