Il faut remonter la boîte de vitesse du CAMPAGNE. Daniel usine la clavette de la sortie d’arbre,

pendant que Jean-Marie procède à la soudure des deux pièces de liaison nouvellement usinés.

Mais, au moment de retourner la boîte, on constate un coincement inhabituel des pignons. Il faut savoir ce qui se passe ! Jacques et Daniel examinent la « chose » avec l’aide de Guy, Jean-Claude et Jean-Marie. Ce sera seulement au bout d’un long moment que nous découvrons le coupable. Le roulement de sortie de boîte est hors d’usage et c’est une bille qui provoque de façon aléatoire le coincement. Le problème est cerné, il n’y a plus qu’à extraire le roulement.

Guy n’était pas là pour l’appel à venir manger. C’est Alain qui s’y est collé en sortant sa puissante sirène.

Nous sommes 12 malgré le froid et le retour de Pierre de visite à la Cité du Train à MULHOUSE nous donne des sujets de conversation intéressants. Les blagues salaces sont bien sûr au menu comme habituellement. Il en faut ! Jacques en a une bibliothèque extraordinaire, tandis que Daniel est plus spécialisé dans le jeu de mot et de phrase demandant quelque fois un petit moment de réflexion. Mais c’est toujours très recherché !

Michel est en plein tournage des moyeux de roues du « Petit Gris ». La vitesse est bonne, l’outil coupe bien, l’arrosage est bon, le copeaux est régulier. Super ! Michel.

Père Breton Daniel est venu bénir l’usinage. Il est en compagnie de son aumônier Jean-Claude en pleine discussion. «  Tu vois ce que je veux dire, Daniel ! »

 Agrandissement de trous au fraisage par Jean-Marie. Un dégrossi est déjà réalisé à la fraise ravageuse aux deux axes (un bon exercice de coordination des mouvements), puis c’est la finition avec un outil à aléser.

Pendant ce temps, dans le dépôt 2, Alain et Guy sont en plein rangement. Il faut absolument retrouver de la place pour garer du matériel qui est actuellement stocké dans l’atelier mécanique. C’est un grand chantier qui demande beaucoup de bras. Avis à la population ! Un trou est apparu avec le départ du moteur de Jean-Luc, mais on doit encore œuvrer dur pour rentrer le DECAUVILLE restauré. Courage Alain !