Au Depot
D’UN MERCREDI A L’AUTRE
MERCREDI 26/10/2016
Texte Jean-Marie LEMAIRE photos Alain ALLEZOT et JML
Pour faire un essai de sable industriel (sable de silice)
approvisionné par Jean-Marie L., Alain A. procède au remplissage des
sablières du Plymouth Vert. Ce sable très homogène et dépourvu de cailloux
doit normalement couler plus facilement depuis les sablières jusqu’aux rails.
Il faut naturellement veiller à la fermeture des sablières pour ne pas perdre
tout le sable en route. Un repère de la position fermée a été inscrit sur le
réservoir de gazole.
Des embouts sur tubes de sablage au droit des roues ont été posés par Alain
A. afin d’être plus efficace et de diriger le sable sur le champignon du
rail. Ainsi équipé, les feuilles mortes et le crachin « Breton »
ne sera plus qu’un vieux souvenir ! (enfin, j’espère !)
Opération démontage. La récupération de tous les accessoires sur le moteur
à vapeur (stocker de 141 R) de Marc-André est en cours. Là il faut chauffer
et avoir des gros bras car c’est du gros ! Michel et Jean-Paul sont à la
chauffe, François et Marc-André sont « aux gros bras ».
Le résultat est là. Un nettoyage plus fin va pouvoir être engagé.
Les deux plate-formes à traverse pivotante sont maintenant traitées par le
dessous. On en profite pour remonter les attelages, cela évitera des
contorsions lorsqu’elles seront à l’endroit.
Les pièces de roulement des plate-formes à traverses pivotants sont
rassemblées. Du feutre a été approvisionné pour faire les drains d’huile
des boites d’essieux. La mise sur roues est imminente.
Nous fêtons aujourd’hui les 69 ans de Pierre. Bon anniversaire Pierre.
Nous sommes 11 autour de notre table.
Usinage sur la fraiseuse Gambin de la pièce support des tuyaux d’échappement
du Plymouth Bleu par Jean-Marie.
Cette disposition imaginée par Jacques H. permettra d’atténuer les
vibrations transmises à la cabine par une interposition de 2 cales en
néoprène. Jacques, Alain A. et Jean-Marie L. sont au remontage.
Un esprit malfaisant a lâché sont « fiel » dans la fosse
réservée à la mécanique. Nous rappelons ici que cette fosse n’est pas une
« fosse à piquer » et que tout débordement malencontreux du
cendrier d’une machine à vapeur doit immédiatement être ramassé par le
titulaire du jour. C’est Marc-André et Jean-Marie qui s’y sont collé pour
cette fois, en souhaitant que cela ne se reproduise plus !
Un problème électrique est survenu sur notre fraiseuse. Les sécurités
redondantes sur cette machine posent un problème à nos ingénieurs
électriciens. Alain B et Alain A. sont sur le coup !