Texte Jean-Marie LEMAIRE, photos Jacques RIBARD et JML.

Le chantier de pose est de plus en plus loin, il faut adapter les approches d’outils et de rails. Jean-Pierre L et Jacques H. se « coltinent » le groupe électrogène avec le chariot d’atelier.

Avant tout démarrage de chantier, un petit café confectionné par Jacques R. est le bienvenu. L’équipe Jacques H., Jean-Pierre L., Alain B., Jean-Marie L., et Jacques R. est au complet. Elle sera renforcée en début d’après-midi par Michel B.

Distribution du courant. Aujourd’hui le chantier est coupé en deux, Jean-Marie L., Jacques H. et Jacques R. sont à la pose des peignes, Jean-Pierre L. et Alain B. sont à la soudure de la 2^ème file de rail. On sort les rallonges !

Ainsi pendant que la pose des peignes progresse au soleil, les soudeurs avancent à l’ombre.

Mais de l’ombre, on s’en fabrique, car par 35° il ne faut rien négliger.

Les anciens sont hydratés régulièrement par les jeunes qui veillent bien sur nous !

Après le repas, il est toujours un peu difficile de reprendre le rythme, surtout quand Jean-Pierre L. sort son hamac.

Le chantier soudure avance bien, malgré les petites alertes données par notre groupe électrogène qui a beaucoup trop chaud.

Alain B. est obligé de le « câliner » pour qu’il ne nous lâche pas.

Tous les peignes disponibles sont alignés, dressés et fixés. On n’a plus de matière, la livraison est prévue mercredi. Ouf !

Un essai est effectué sur le nouveau tronçon grâce au wagon neuf confectionné par Jean-Pierre L. Tout fonctionne. Maintenant, on replie les outils et on se dirige vers le glacier, on l’a tous bien mérité !

Merci les amis pour le courage qu’il faut développer sous une telle canicule. Mais quelle satisfaction !

Texte Jean-Marie LEMAIRE, photos JML.

Le nouveau démarreur de l’0B0-02 obtenu par Jean-Marie L. en échange standard chez notre fournisseur FEVRIER est en place. Mais Jacques H. n’est pas encore satisfait, car c’est l’alternateur qui montre maintenant des signes de faiblesse. Un essai de charge de la batterie est en cours.

Équipe réduite ce samedi, mais nous sommes quand même 6 autour de notre table et Michel B. viendra grossir les rangs en fin de repas. Jacques R. avait confectionné un excellent gâteau, et le plat est vide comme l’atteste la photo.

Un petit détail que j’avais oublié de mentionner dans les articles du mois de Juin, la réfection du marchepied en bois du wagon tombereau à essieux . C’est Jean-Paul B.qui avait œuvré sur ce point.

Le chantier de montage de la voie du CFC Miniature est en plein « boom ». Jacques R., Jean-Marie L. sont à la soudure des peignes, Michel B. est au débit des traverses sur la scie à ruban, et Jacques H. perce les extrémités des barres pour permettre le boulonnage des éclisses.

Le stock de peignes reprend des couleurs pour la prochaine campagne de pose.

La journée fut chaude et bien chargée (6 peignes assemblés), et comme Manue est venue nous rendre visite, on décide de prendre la direction du glacier avec le Campagne.

Texte Jean-Marie LEMAIRE, photos Jacques RIBARD.

Aujourd’hui, c’est le 2^ème dimanche du mois, donc le train à vapeur fonctionne. Jérémie G. et Dominique M. sont aux commandes.

Mais le CFC Miniature fonctionne aussi.

Ainsi, l’équipe constituée de Manue M., Michel B. et Jacques R. ont assuré le fonctionnement pour le plaisir des petits et des grands sur notre boucle provisoire.

Manue M. qui était notre receveuse, a pris aussi plaisir à conduire le train.

Texte Jean-Marie LEMAIRE, photos Jacques RIBARD et JML.

Début de journée. Jean-Marie convoie le train de travaux constitué du Campagne, du wagon atelier et des wagons à traverses pivotantes chargés des coupons de peignes fabriqués mercredi dernier.

Le déchargement s’organise entre Jean-Pierre L. et Jean-Marie L. tandis que Jacques R. est déjà au boulot au pied du train. Il met en place les éclisses sur les barres à souder, ce sera du temps de gagné. La journée démarre « petit », nous ne sommes que trois, mais les renforts arriveront plus tard.

Puis approvisionnement des chantiers (chantier soudure et chantier pose de peignes). Tant que les voies ne sont pas utilisables, il faut tout transporter grâce au petit chariot de Jacques R. bien pratique.

Le groupe de soudure loué est dans la remorque et y restera mais le groupe électrogène doit être apporté à pied d’œuvre pour le chantier de pose de peignes qui s’éloigne de plus en plus des voies de 60.

Le plan d’action est établi entre Jean-Pierre L. et Jean-Marie L. On peut y aller, mais la constatation du jour est qu’il va falloir faire du « rab » pour pouvoir finir la boucle promise pour l’inauguration par le Parc pour les journées du Patrimoine. Les vendredis sont retenus en plus des samedis.

Après une petite collation de midi et le super gâteau de Jacques R., tout le monde est prêt. La venue des renforts avec Batiste P., Louis P., Michel B., et Guy B., fait plaisir et va soulager « nos vieilles douleurs ».

Les chantiers tournent à plein toute l’après-midi, les participants sont actifs et alternent les tâches afin de se préserver un peu. Seul Jean-Pierre L. soude en continu et les durillons sur les genoux commencent à apparaître.

Dernière vérification sur l’alignement (il faut contenter l’œil !). C’est bon, on peut fixer et on tient l’objectif du jour.

La soudure avance bien et l’objectif sera tenu aussi par l’équipe Jean-Pierre L., Jacques R.

Le soir arrive, (l’heure du « glacier » aussi !) la voie est sortie du petit bois de bouleaux et se dirige vers la gare proche du portail Nord. Les peignes ont franchi la dernière courbe avant la grande ligne droite qui reviendra à l’aiguillage A7. La journée a été bien productive en pose, il faut envisager de la fabrication en atelier « dare-dare ».