CFC Miniature
MERCREDI 10/06/2020
Texte Jean-Marie LEMAIRE, photos Julien C. et JML.
C’est le plan en mains que Lemziti S. et Jean-Pierre L. ont « attaqué
» la mise en place des manœuvres d’aiguille à distance sur le circuit.
Le conducteur peut à distance changer le sens de l’aiguille selon sa volonté
et l’occupation des voies. L’ensemble est démontable afin d’éviter les
dégradations ou les malveillances.
SUITE 8 du montage de l’autorail électrique Decauville.
Les marches-pieds en chêne de 12 mm d’épaisseur sont fixés sur leurs
supports en U pliés à l’aide de vis inox M6 tête fraisée empreinte
hexagonale.
Le compresseur à air commandé à Philippe M. est arrivé. Aussitôt
transformé pour l’usage qui lui sera dévolu, le freinage.
Les capots qui vont faire office de sièges sont fixés sur le plancher
par des charnières à piano.
Les extrémités de la caisse en
forme caractéristique arrondies sont réalisées par du plat de 5mm fixé par
des vis inox tète fraisé empreinte hexagonale. Les trous des poteaux de cabine
sont déjà réalisés et les poteaux seront soudés par le dessous en «
soudures bouchons » invisibles.
Les supports de toiture qui forment aussi dans la réalité les ossatures des
sièges sont réalisés grâce à un gabarit qui permettra de cintrer à chaud
les ronds de 10 mm.
Le cintrage à chaud doit être mené avec précision.
La semelle de fixation préalablement confectionnés est brasée sur les ronds
de 10 mm à l’aide du même gabarit de cintrage parfaitement d’équerre. La
brasure à 40 % d’argent est ici plus facile et plus esthétique à réaliser
que la soudure à la baguette.
Le moment est venu de rapprocher les bogies du châssis. D’un côté le bogie
moteur, de l’autre le bogie freiné. Le châssis est sur ses roues ! On
progresse. On voit ici l’utilité du capot formant siège relevable pour
accéder aux moteurs.