CFC Miniature
MARDI 14/07/2020 - Fabrication de l’autorail électrique DECAUVILLE
Texte et photos Jean-Marie LEMAIRE.
Les deux dernières voliges en chêne sont ajustées de
part et d’autre de la toiture. Quelques coups de rabot bien affûté ont fait
l’affaire.
La tôle de cabine côté opposé aux moteurs est mise en place par des rivets
filetés sur la structure en carré de 14 mm soudé sur les montants en rond de
14. Pour l’esthétique, des rivets seront mis en place selon le tracé. (Un
petit boulot de patience). Le support de lanterne sera également installé.
MERCREDI 22/07/2020 - L’autorail électrique DECAUVILLE
Texte et photos Jean-Marie LEMAIRE.
Les tôles de cabine ont reçu leur ligne de rivets. Comme pour les rivets de
châssis, les trous sont percés et fraisés côté opposé au rivet. Puis un
matage au marteau est effectué sur un « tas » en forme de la tête
du rivet. Le rivet est installé.
Il s’agit de
réaliser la pièce de connexion entre l’autorail et le tableau de commande
que l’opérateur aura en main. Cette pièce sera en aluminium afin de
faciliter les usinages relativement complexes et précis. On doit à la fois
supporter la lanterne, assurer la connectique électronique au travers d’une
prise connecteur DN9 et fixer le tout sur la tôle de cabine.
La fixation de la pièce d’interface sur la tôle
de cabine est réalisée par des vis inox de 6 mm fraisées, la fixation de la
lanterne par un support propre à la lanterne fixé par vis BTR de 4mm. Côté
lanterne, le câble d’alimentation passera par le trou de la prise DN9.
MERCREDI 22/07/2020
Texte Jean-Marie LEMAIRE, Photos Michel BOINON et JML.
Implantation
de la « manœuvre d’aiguille à distance test ». Lemziti S.,
Michel et Nicolas M., Jean-Pierre L. sont à l’œuvre sous le parasol. Michel
L. observe.
Travail à la masse par Jean-Pierre L. pour redresser un désalignement
de voie. « Dans ces moment-là, tout le monde est d’accord avec
lui ! »
La masse, un outil avec lequel Jean-Pierre L. excelle. Un petit essai s’impose
avec son locotracteur en 5 pouces pour vérifier.
Michel B., Guy B. et Michel L. sont en attente du passage du train
régulier constitué de 4 voitures et du Plymouth Vert n° 10 conduit par Julien
C. pour refouler sur le pont.