Au Dépôt

 

 

 

Mercredi 21 avril 1021

François Borie, photos Baptiste, Louis, Julien et Michel.


Ponçage de la cabine et de la soute à eau avant mise en peinture.


Pose des strapontins avec MAD et Philippe.


Puis première couche de la couleur de la cabine et de la soute à eau.


Et rangement dans le dépôt


La Chanteraine était garée devant l'atelier en attendant de passer sur la fosse pour travaux dans le foyer... François en a profité pour coller ses plaques de numérotation CFC : n° 06


Après dépose de la grille et du cendrier et nettoyage haute pression, essai des dudgeons en magasin pour mandriner les tubes fuyards.

L'essieu défectueux a été traité chez Patry pendant l'hiver et nous a été livré ce matin... 

... et aussitôt remonté par MAD et Philippe B. La baladeuse est rendue au plus vite à l'exploitation.

Profitant des derniers jours de vacances, l'équipe des jeunes s'investit un maximum dans les activités tant à l'atelier qu'à l'exploitation.


Le matin, Louis a réglé la tringlerie de commande de pompe hydraulique et de régime moteur de l'0B0-02...


... puis remplacé le régulateur de pression d'air de l'0B0-01.


De son côté, Baptiste s'est activé toute la journée sur la Bertha : il a d'abord réparé l'alarme électrique dont un domino s'était dévissé, regarni le presse étoupe du robinet d'isolement inférieur du niveau côté mécanicien...


... puis remplacé le joint du régulateur par un joint neuf qu'il a lui-même taillé dans une feuille de Klingérit.


... pour enfin installer une cloche à portée de main du mécanicien.


À la pause de midi, comme il y a pas mal de monde dans la salle à manger, on rejoint un petit groupe qui profite du grand-air et du soleil pour prendre le repas sur nos tables extérieures. Repas sur nos tables extérieures.


Opération "nettoyage de printemps" : notre nettoyeur haute pression ayant été réparé, le matériel roulant a droit à un bon décrassage, extérieurement c'est esthétique... et intérieurement c'est plus de confort pour les mécanos qui doivent y intervenir !


Louis tient la lance.


Tout y passe: après les Socofer, c'est au tour des tracteurs Plymouth.


.... et bien sûr du matériel remorqué.)


L'après-midi, devant l'affluence, nous avons dû mettre en ligne 2 trains à composition renforcée à 4 voitures pour faire face à l'affluence tout en respectant les mesures barrière...


Pendant ce temps-là, entre la station des Fiancés et la rive de Seine, nos valeureux "taupiers" travaillent le long de la voie pour tenter d'endiguer la luxuriance de la végétation qui pousse jusque contre les rails que les feuilles rendent glissants... bonjour l'adhérence ! Coup de chapeau au passage à notre mécanicien qui a réussi à passer, parfois au prix de manœuvre de refoulement pour prendre de l'élan... Il faut dire que nos deux  Socofer avec leurs essieux moteurs non couplés et démunis de sablières ne sont pas des modèles d'efficacité de traction.

 

Jeudi 22 avril 2021

Baptiste  a travaillé sur sa locomotive "Genoa"


Le Griffet récemment remis en route par  Pierre M. et Jean-Claude est descendu de son wagonnet et ses trois pneus ont rejoint la terre ferme après de longs mois de stockage.

Les plus anciens se souviennent de ce tracteur caractéristique qui circulaient dans les années 1950 dans les grandes gares de notre enfance. Il tractait des chariots pour acheminer les bagages divers, malles, valises, paquets, bicyclettes, etc.
L’engin, construit par les établissements Griffet de Marseille. Il était propulsé par un moteur de 403 Peugeot qui entraînait l'essieu arrière. À l'avant une unique roue directrice (sans direction assistée) il fallait tirer sur le volant.
Ils ont été par la suite remplacés par des tracteurs électriques.
Il en existe un à la Rotonde de Montabon.
Ces tracteurs étaient aussi utilisés par les PTT

 

 

 

 


Sur la Stoker MAD a passé la deuxième couche de peinture.


Et pendant ce temps, la journée d'exploitation, comme toutes celles du mois d'avril a fait son plein de voyageurs. En gare des Fiancés, les deux trains s'apprêtent à partir, l'un vers Gennevilliers RER, l'autre vers les Mariniers.


À la gare, Didier et Dominique, les deux responsables d'exploitation, ne chôment pas, le tableau d'affichage non plus

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