L'Association
Quelques vieilles photos retrouvées par Jean-Baptiste... C'était en 1985.

La Decauville n° 869 de 1914, ex Beugin-la-Comté n° 3 au CFC n'est pas encore
terminée mais sa requalification a été actée par l'APAVE. La cabine n'a pas
encore été reconstruite. Elle circule avec une voiture Socofer préalablement
dé-freinée par un locotracteur.
Sur la plate-forme, Jean Chapotel, son propriétaire, Gilbert Dumy et MAD. Elle
sort de dépôt et s'aventure jusqu'à la Ferme.
La cabine n'est toujours la reconstruite mais elle participe déjà à
l'exploitation. Ici dans les Hautes-Bornes entre Passage de
Verdure et La Ferme. Pour dé-freiner la rame on utilisait une
bouteille d'air avec détendeur. Dans un premier temps seul le coté cabine
était muni de la conduite d'air. On retournait la machine à chaque extrémité
de la ligne, c'est à dire entre le Pont d'Épinay et Passage de
Verdure, les deux terminus de l'époque.

Ici dans la descente entre La Ferme et Pompidou (aujourd'hui Les
Fiancés).
Ce devait être plus tard car il y a François dans la cabine avec MAD et
Gilbert Dumy au manche de fer.

Le terminus Passage de Verdure en 1984. On aperçoit la plaque tournante
PT2. Derrière la barrière des pelleteuses façonnaient le Belvédère qui
existait déjà. C'était en quelque sorte le terril des granulats extraits du
lac.

L'autre ancien terminus du Pont d'Épinay, puisqu'il n'existe plus à cet
endroit en bordure de l'estacade que l'on voit à gauche de la photo. Entre la
plaque tournante et l'arbre qui servait de heurtoir, on avait l'habitude de mettre
une benne à charbon. C'est le dernier train qui la ramenait au dépôt.
À gauche Jean-Bernard Mervaux, au manche Jean Chapotel à droite MAD. L'arceau
de la cabine tenait avec des ficelles. On tournait tous les dimanches.
On reconnaît l'attelage (type Beugin) qui est aujourd'hui sur la Stoker.
Cette machine nous a fait rêver.