Au Depot

 

 

 

MERCREDI 15/02/2012

Texte et photos Jean-Marie LEMAIRE

 

Aujourd’hui, il fait moins froid dehors et c’est 14 convives qui se retrouvent autour de notre table.

 

L’intensité du  travail du matin est palpable sur certains d’entre nous. La récupération est nécessaire après manger et chacun a sa méthode : en avant pour Gilbert ou en arrière pour Jacques H. Mais les deux méthodes fonctionnent car l’énergie récupérée va leur permettre d’abattre le boulot de l’après midi.

   L’exploitation commence le 03/03/2012, et le bureau d’exploitation se prépare. Tout doit être prêt : les fiches d’horaire, les prévisions des vacataires, les talkies, le planning d’exploitation, bref tout ce qui est nécessaire pour fonctionner.

Guy D. et Pierre G. sont aux commandes.

 

Après la dure période de très basse température que nous avons connu ces derniers temps, Alain a décidé de revoir l’étanchéité de l’atelier. La réfection de bavette caoutchouc sur la porte d’entrée devait être réalisée, c’est chose faite aujourd’hui.

 

L’assemblage des planches en chêne du plancher du plat DECAUVILLE en cours de restauration est effectué par Michel L. sous l’œil expert de Gilbert.

Pour cette phase de travaux, l’utilisation de gabarits simplifie nettement la tâche. Ici un gabarit de perçage et un gabarit d’écartement assurent une pose parfaite des planches.

 

La préparation du deuxième bogie est bien avancée et c’est le brossage des roues en vue de la peinture qui est au programme. Gilbert travail à hauteur d’homme grâce au support d’essieu accroché au palan.

 Pendant ce temps Freddy prépare la barre d’écartement des sabots du bogie de la 3è baladeuse,

   et Jacques H. s’est installé dehors pour profiter du soleil afin de préparer le démontage complet du bogie de la 3è baladeuse.

   

Ici la 2è baladeuse terminée est sur la fosse (il reste à faire les essais de freinage pour valider les réglages) et  la 3° baladeuse  à gauche en cours de traitement. Sous le portique, le plat DECAUVILLE commence vraiment à avoir « de la gueule ».

   L’usinage tourne toujours à plein régime et les deux fraiseuses sont en fonctionnement sous la conduite de Jean-Marie L. et Jean-Claude H.

 

Les pièces destinées à la modification des bogies sont presque toutes terminées. Un bien beau tas de pièces et des heures de travail.

Mais la satisfaction sera là lorsque les deux rames SOCOFER seront rendues à l’exploitation. Encore un peu de patience.


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