Bon, Mercredi le temps n’a pas permis de faire les filets noirs de la 030 Chanteraine, et on espérait aujourd’hui une clémence ! Mais les éléments s’en sont mêlés et on n’a pas fait ce que l’on voulait.

« Quand ça veut pas, ça veut pas ! »

Après la finition des étanchéités de la chaudière (trous de mains), dessous de bâches, réalisés par Daniel LG, Daniel et Jean-Marie pensaient une formalité l’allumage de la 030 Chanteraine pour la valider pour Samedi prochain. Que nenni !

Au remplissage des soutes, on constate que les raccords de soutes sur les pipes de châssis fuient. Bon, on se dit que ce n’est pas grave pour continuer puisqu’on a de l’eau dans le châssis.

Et bien non, quelques minutes après on s’aperçoit que le joint de l’arbre de Noël fuit comme un panier.

Daniel démonte aidé de Jean-Marie pour soulever « le colosse », recuit du joint et remontage, on souffle, ça va aller.

Et bien non encore une fois, c’est maintenant le régulateur qui est bloqué ouvert (« une couille au remontage ! »). Il faut arrêter, c’est cuit !

Moral dans les chaussettes, on va manger et on répare après midi.

Nous sommes 10 autour de la table. C’est la que Guy voulant sans doute nous remonter le moral nous annonce : « alors, il parait que la 030 ne sera pas prête samedi, on prévoira un diesel ! ».

Non, non, on va y arriver. Il y a encore 6 jours avant samedi.

L’après midi fût consacrée

• au démontage du dôme pour remettre la biellette dans le bon sens (c’était rien, mais il a fallut retirer l’habillage du dôme, hotter les 20 écrous du couvercle du dôme, lever le couvercle au palan, et il est lourd, ré-étancher et refermer)
• à la reprise de l’étanchéité des bâches sur les pipes de châssis

 Une des pipes fuyarde.

 Jean-Baptiste, venu en renfort, a assuré la finition des fixations des tubes de purge des injecteurs que Jean-Marie avait préparés. C’est plus esthétique que les anciennes tiges filetées.

Jacques s’est occupé de la pose de la plaque de baptême de notre atelier. Merci Jacques.

Vincent est sans doute fier de nous. Ainsi nous ne pouvons l’oublier.