Marc-André en plein boulot de préparation des tubes cuivre. Mise à longueur et préparation des portées. Didier vient s’informer de l’avancement.

Michel, complètement autonome maintenant sur son tour, procède à la mise à la cote du moyeu n° 2 du « PETIT GRIS ». Pendant ce temps, Jean-Claude tourne les têtes des vis de condamnation des moyeux sur les arbres de roues en y ajustant les pièces hexagonales qui feront office de tête d’écrou.

Jacques et Jean-Pierre terminent le remontage de la boîte de vitesse du CAMPAGNE. Les tiges de manœuvres sont en cours d’assemblage. Ça devrait bientôt tourner. Les essais sont imminents.

Aujourd’hui, nous sommes 15 malgré le froid, et les discussions sont enflammées. Actualité oblige. Il semble d’ailleurs que notre repas soit un excellent « journal d’actualité » que les journalistes de métier nous envieraient sans aucun doute !

Claude est venu déjeuner avec nous pour notre plus grand bonheur, et il nous a gratifiés d’une superbe boite de chocolats que chacun a pu apprécier. Merci Claude.

Il ne faisait vraiment pas chaud car Jacques a conservé son « cache neurones » pour manger malgré le beau soleil qui brillait dehors!

Il fallait que l’on fasse le retour à son propriétaire du wagon artillerie prêté pour les journées du patrimoine. Jean-Marie avait donc prévu d’apporter la remorque, et c’est après avoir été récupéré une armoire avec Alain chez un ami à lui (pour le futur remaniement de l’atelier) que nous avons chargé grâce au palan le wagon et son porte obus. Puis Jean-Marie L., Jean-Marie R. et Alain ont pris la direction « Versailles Matelots ».

En l’absence d’engin de levage, il nous a fallu organiser un quai sommaire et provisoire en palettes pour pouvoir décharger sans se casser quelques abatis. Puis retour au CFC dans une circulation plus que dense, puisque nous avons mis environ 2 heures pour faire le parcours de retour. Quand on aime, on ne compte pas !

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