Pierre et Jean-Claude ont continué l'aménagement intérieur de la Tromobile avec l'installation d'une banquette des anciens métros parisiens, ce qui nous rappellera le "bon vieux temps" et deux strapontins pour les passagers.

Quelques images de l’activité des bénévoles présents en ce dimanche après-midi.

La météo étant clémente, le Trolex est sorti pour des essais dans le dépôt et permettre à chacun de «　tester la bête　».

Une équipe est constituée pour finir de contrôler les travaux de l’entreprises BRIFER autour de la station de Gennevilliers avec le Plymouth n°10 et la voiture salon V10.

Les traverses sont neuves, le ballast est bourré autour des traverses et les écartements ont été repris. Louis P. contrôle ici les écartements à l’entrée de la station de Gennevilliers.

François Borie

Démarrage tôt ce matin car l'inspecteur de l'APAVE et venu effectuer la visite périodique de trois de nos locomotives. La chaudière verticale de la "Jeanne" a été examinée également pour évaluer la possibilité d'une requalification. Des travaux sont à prévoir mais c'est jouable.

Jean-Paul a momentanément abandonné l'atelier menuiserie pour une tâche plus ingrate mais bien nécessaire : le nettoyage de aiguilles du grill du dépôt.

Après une tentative de restauration/finition, qui n'a pas abouti, il y a quelques années, Pierre M. et Jean-Claude ont repris l'affaire en main et ont sorti la Tromobile de Vincent de sa léthargie. 
Ca fait plaisir de la rouler à nouveau. Maintenant il faut la terminer mais le moteur tourne.
L'équipe a revu l'aménagement intérieur. Pour plus de confort, la caisse jaune a été remplacée par une banquette de métro... et deux strapontins ont été fixés dans l'espace arrière. Maintenant, l'équipe phosphore dur sur le moyen d'équiper ce véhicule atypique d'une capote.
Jean-Claude voudrait aussi rendre ses phares fonctionnels en utilisant le courant que le moteur est censé produire par une génératrice auxiliaire intégrée.... enfin c'est ce que laissent pense deux fils sortant de sous le carénage dudit moteur !
Restera encore à finir le plancher et à équiper l'engin d'un tableau de bord un peu plus complet.

Pour pallier l'absence de sablière sur les locotracteurs SOCOFER, Philippe a conçu cette sablière portative. Pour sabler, elle sable, mais le clapet manque d'étanchéité et on ne peut plus l'arrêter ! Le système de fermeture sera revu en conséquence !

Il y a toujours quelques manœuvres à faire, notamment pour ramener dans l'atelier la chaudière verticale qui a été visitée par l'APAVE et remiser dans le dépôt un wagonnet qui sort de révision.

 
Deux sites distincts pour respecter le gestes misères : le réfectoire habituel et la voiture V10 sommairement aménagée et chauffée avec des tables de camping en fonction des effectifs. C'est le coin des outilleurs.

Sur la 030 T 19 qui vient de passer sa visite périodique, François remonte la soupape de sûreté qu'il avait fallu enlever pour permettre le séchage de la chaudière au moment de l'hivernage et aussi les deux vannes d'extraction : filasse et pâte à joint pour un montage bien serré qui doit garantir une étanchéité à la pression.

Un petit souci de taraudage émoussé sur la purge de la pompe Worthington passe par la confection d'une douille dont le taraudage, au pas du Gaz en 1/4", recevra le mamelon de raccordement du robinet de purge tandis que le filetage en M14 s'insérera dans le trou du couvercle de la pompe, que je devrai agrandir et tarauder. Ce montage et imposé par l’assortiment réduit de tarauds au pas du gaz dont nous disposons !

 
En début d'après-midi, nous voyons arriver Jean-Claude et Pierre avec un chargement bien lourd...
Ils viennent de récupérer un tour, un peu ancien mais en parfait état qui leur a été offert !
A l'aide du palan, passage de la remorque au transpalette...

 
... pour finalement l'installer dans l'atelier après que Pierre lui a fait une bonne petite toilette au gazole.

La récupération inclut bien sûr les accessoires : pinces, mandrins, outils et pignons interchangeables pour l'entraînement de la vis-mère.

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