Le carnet du CFC - Sommaire
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L'ATTCV en gare de Tourves (Var) |
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La locomobile Lobin du château de Tholonet |
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Les chantiers du Petit Train de Semur |
Des nouvelles du Chemin de fer de Semur-en-Vallon
Christian Pottier
Nous venons de faire les bilans en cette fin de juillet.
Voici les chiffres :
- 63 jours d'exploitation
- 58 groupes reçus
- 3323 visiteurs à cette mi-saison.
Ces chiffres sont pratiquement identiques à ceux de la même période de 2016.
Très bon travail fait par une formidable équipe de bénévoles qui font un travail de qualité pour le plus grand plaisir des visiteurs.
Merci aussi à ceux qui font savoir à qui veut bien l'entendre "qu'il faut venir à Semur "
aussi bien en visiteurs qu'en membre de l'équipe d'animation.
Recherche d'un club international "Proustien"
Marcel Proust sur
un quai de gare vers (1890-1905].
Un club de Proustien a du mal à localiser cette photographie de Marcel
Proust sur un quai de gare (tram ou chemin de fer), vraisemblablement en 1892
voire 1891 d'après d'autres photographies de l'écrivain à l'époque. Les
membres pensent que cette scène se passe en Normandie ou autour de Paris.
Marcel Proust allait en effet souvent en villégiature entre Caen et Cabourg, et
à Trouville, mais aussi en région parisienne (St Gratien,
Louveciennes...).
La photographie peut être vue sur
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Tirage
albuminé d’époque (107 x 80 mm), contrecollé sur carton fort (200 x 170
mm).
Protégé du soleil par son canotier, la tête penchée, Proust porte un paletot trop grand pour lui et est debout aux côtés d’un inconnu sur un quai de gare.
En 1965, l'exposition de la Bibliothèque nationale présentait cette photographie en estimant qu'elle avait été prise "sans doute vers 1893 sur un boulevard en bordure de mer" ; M. Naturel pense pouvoir la situer à Cabourg, vers 1896. Cependant, ainsi que nous l’a aimablement fait remarquer Mme Françoise Leriche, que nous remercions, c’est sur un quai de gare que Marcel Proust est ici saisi par l'objectif du photographe anonyme, non sur un boulevard (on distingue les rails à droite et d’autres voyageurs qui comme lui attendent l’arrivée du train, à gauche) ; à l’époque, il n’y avait pas de gare à Cabourg, les voyageurs descendaient à Dives, mais il ne semble pas qu’il s’agisse de cette gare.
La veille de :